Madame Claude n'avait rien inventé pour satisfaire les plaisirs charnels des personnages influents de notre monde...

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"Une cour sans femmes, c'est comme une année sans printemps, ou un printemps sans roses"

Ainsi parlait François 1er qui aimait les fleurs,... mais pas toujours les mêmes. Outre la maxime ci-dessus, il disait aussi à leur sujet: "souvent femme varie , bien fol est qui s'y fie"

François 1er n'oubliait pas après la chasse les jeux de Vénus, et ne cherchait pas d'ailleurs à dissimuler ses faiblesses. L'énorme cortège de la Cour comportait une charrette avec bataillon de grâces, filles de joie, légalement patentées et dont l'existence était protégée et surveillée par des édits royaux. Peut-être l'étiquette qu'il avait imposé strictement à la cour de respecter les femmes, l'incitait à une disposer d'une compensation parallèle.

Dame Olive avait la charge d'une joyeuse compagnie

Ordonnance du 12 mai 1535 : "paiement de 90 livres à Olive Sainte, dame des filles de joye suivant la cour pour lui aider, et aux dites filles, à vivre et supporter les dépenses qu'il leur convient de faire à suivre ordinairement le roi"

Il faisait bon vivre dans le voisinage du prince charmant, qui débarrassé du protocole de la cour, ne dédaignait pas le charme sensible des jeunes paysannes. Lorsqu'il les rencontrait, le coeur du roi s'attendrissait, mais ne croyez pas pour autant que toutes les parties de son corps ramollissaient pour autant...On dit qu'il a ainsi doté une dizaine de jeunes filles du voisinage !.

Jamais il n'oubliait ses promesses, et puisait dans son trésor (ou celui de l'état?) pour les respecter: "Mandement au trésorier de l'épargne de payer à Jeanne Delacroix, pauvre fille demeurant à Vatteville 22 livres tournois que le roi lui a données pour l'aider à se marier".

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